A VanessaQuand tu es entrée dans ma vie
J'aurais voulu faire demi-tour
Mais c'est pourtant aujourd'hui,
T'es ma plus belle histoire d'amour.
Et tu vraiment bien la seule
Que je suis sûr d'aimer toujours
Même quand tu me feras la gueule
Aime MoiAime-moi
Люби меня
Danser,
Du regard et des mains apprivoiser
Une proposition, un pourparler1,
Une invitation à tout oublier
Aime-MoiЛюби меня
Danser,
Du regard et des mains apprivoiser
Une proposition, un pourparler,
Une invitation à tout oublier
Tanguer,
AmamiPerchè
mi viene voglia
adesso di parlare
un po’ ci credo
un po’ tanto per fare
insieme noi due si
si può provare
cadere
Ami AmiOn nous appelait les jumeaux
C'était le loup, j'étais l'agneau
Et je marchais dans son sillage
J'étais le doux, lui le sauvage
Si on était toujours ensemble
C'est parce que qui s'aime s'assemble
Il réglait ses comptes au couteau,
Avant Que Tu ReviennesJ'en ai compté des heures
Des jours et des semaines
Des soirs qui me faisaient peur
Des instants qui malmènent
Des matins de looser
Des nuits à perdre haleine
J'ai usé des pinceaux
Ca pleure aussi un hommeAmour d'un soir De quelques nuits Quelques semaines
Un mois et puis Plus d'un été De porcelaine
Se brise l'espoir Se plie le chêne Dans le miroir
De nos baisers A perdre haleine A s'enlacer
A faire l'amour Derrière la scène Sur le velours
Des fumigènes
Ca pleure aussi un homme
Comme ça pleure un chanteur Il se déshabille le cœur
Chanson pour te dire je t'aimeComme la vague avec la mer
Comme la neige avec l'hiver
Comme le vent va sur la plaine
Courber les blés, jouir aux fontaines
Dans l'or et dans l'horreur des villes
Le corps noyé le coeur tranquille
Je vais comme un navire ouvert
Chercher l'abîme et la lumière
Dio quanto io l'amoSon le sei della sera
e la porta si è aperta,
con i jeans attillati,
ma come sei bella...
sai che non sei cambiata,
forse ancora più dolce,
forse ancora più donna,
forse ancora di più...
Elle Etait BelleBelle
A secher les encriers
A force de t'écrire
Belle
A ne pas pouvoir trouver un seul mot
Pour le dire
A laisser son vol les oiseaux
Les ténors du barreaux
Elle Me TueSa façon de m'interdire
De parler, de tout lui dire
Ça me tue
Elle me glace d'émotion
Pute ou poupée de salon
Elle me tue
Sa démarche à reculons
Léopard Caméléon
Elle me tue, mais je l'aimeSa facon de m'interdire
De parler , de tout lui dire
Ca me tue.
Elle me glace d'emotion,
Et tu grandisTu mets des chaussures à talon
Tu rentres toujours en retard
Avec du bleu et des crayons
Tu t'essaies un nouveau regard
Tu me fais croire que les garcons
N'ont pour toi aucun intéret
Mais tu as écrit un prénom
A l'intérieur de ton plumier
Je T'aimeComme la vague avec la mer
Comme la neige avec l'hiver
Comme le vent va sur la plaine
Courber les blés, jouir aux fontaines
Dans l'or et dans l'horreur des villes
Le corps noyé le cœur tranquille
Je vais comme un navire ouvert
Chercher l'abîme et la lumière
Je t'apprendrai l'amour -Я научу тебя любви ELLE:
J'ai rêvé cette nuit que je faisais l'amour
J'ai rêvé cette nuit que j'étais prés de toi
J'ai rêvé cette nuit qu'on m'apprenait l'amour
Que j'étais prés de toi et toi tout prés de moi.
LUI:
Je t'apprendrai l'amour
Je VoleCe soir j'ai fermé les volets,
la porte et j'ai jetté la clef,
et je n'ouvrirai plus a personne,
ca y'est ce soir c'est decidé,
devant chez moi tu peux crier,
je repondrais pas au telephone,
je ne te mettrais plus en cage,
Je vous aimeLes filles et les femmes en jeans ou en dentelle
En bourgeoise , en nana, les louves et les pucelles
Les brunes et les blondes armées de seins si lourds
Où tous les cris du monde s'écrasent en cris d'amour
Et les petites filles aux coquilles de nacre
Et ce goût de myrtille sous les kiosques du parc
Un regard échangé avec une étrangère
L'enfant sauvageMon père avec ses doigts noueux
M'en avait donné des taloches
J'avais des larmes dans les yeux
Et les poings serrés dans mes poches
Je n'osais pas lui raconter
Que si je n'aimais pas l'école
C'est que j'aimais la liberté
La petite fille de NormandieHé ! C'était l'été 62, on m'avait mis en colonie, une prison en Normandie.
Hé ! Moi, loin des jeux organisés, je partais à la dérobée,
Me cacher près des écuries, mon Dieu ce qu'elle était jolie,
La petite fille de Normandie !
Dans le tiroir aux souvenirs, un regard, un petit sourire,
Un chapeau blanc et un cerceau, un cerf-volant et un bateau.
J'irai, j'irai revoir un jour, la grande maison de Cabourg, jardin secret sacré.
Le pauvre vieuxAssis, les mains en poches
Sur une banquette de métro
Il est bientôt cinq heures
Il va commencer son boulot
Un vieil accordéon
Qu'il traine depuis des années
Un peu désaccordé
Mais il va le faire éclater
MadameJe vous regardais tendrement,
J'aurais bien voulu vous parler,
Mais le courage m'a manqué.
J'aurais voulu vous emmener,
Faire quelques pas à mes cotés,
Sans pour cela imaginer.
Imaginer un tas de choses,
Des choses que je n'ose vous dire madame,
Mais quel AmourY a des amours qui pleurent, y a des amours qui chantent,
Des amours qui font peur et des amours qui tremblent,
Des amours platoniques, tout est dans le regard,
Comme un vent de panique reste un peu à l'écart.
Y a des amours bidons, des amours de plumard,
Des amours de carton mais qui font des histoires,
Y a des amours passion qu'on ne contrôle pas,
PizzaioloIl a quitté sa terre natale
Tous ses parents et ses amis
Par une nuit remplie d'étoiles
Entre Sorrente et Amalfi
Dans sa valise, un idéal
Qui l'a amené à Paris
Tout en haut de la rue Pigalle
Pour ellePour elle,
Des châteaux au Pays des Merveilles
Et des îles de sables au soleil
Des rivières de diamant sans pareil.
Pour elle,
Des oiseaux couleurs de l'arc-en-ciel
Des montagnes aux glaciers éternels
Que sais-tu de moiQue sais tu de moi ?
De mes vagues à l'âme
De ce manque de toi
De mes drôles de larmes
Que sais tu de moi ?
Quand je reste seul
De mes coups d'éclats, de mes coups de gueule
Seize ansTu as seize ans déjà
Le printemps te va bien
Et tu portes tes seins
Comme un certificat
Tu as seize ans, c'est bien,
Le printemps te fait belle
Comme un joli jardin
Si ca va pas ce soirTu vois, je ne sais plus très bien, ni où tu vas, ni d'où tu viens
Mais je ne t'oublierais jamais, mon compagnon, mon naufragé
On est en pleine mer, en plein cœur de Paris
Dans ton sourire amer, j'ai tout lu, tout compris
Tu t'es levé, tu m'as suivi, comme un chien perdu sans collier
Sans savoir on s'est arreté, devant un bar et je t'ai dit
Si ca va pas ce soir, vient et on ira boire
StranieroTrop de frontières, trop de bateaux
L'âme légère et le sang chaud
Plier bagages, changer de peau
Comme un naufrage, entre deux eaux
Changer de langue, moi l'Italo
Pour tout comprendre à demi-mot
Straniero
Tout va bien tout va malJe reviens près de toi, chaque soir
Mais dans ta main tu caches un mouchoir
Comme je sais que tu as dû pleurer
Je m'attends à etre questionné.
Tout va bien, tout va bien,
Avec toi je suis bien,
Tout va bien, tout va bien,
Я научу тебя любитьJe t'apprendrai l'amour
Elle :
J'ai rêvé cette nuit que je faisais l'amour
J'ai rêvé cette nuit que j'étais près de toi
J'ai rêvé cette nuit qu'on m'apprenait l'amour
Que j'étais près de toi et toi tout près de moi.