Emmanuel Moire все тексты (слова) песен, переводы, видео, клипы

Tu me dis que rien ne passe
Même au bout d'un moment
Qu'un beau jour c'est une impasse
Et derrière l'océan
Que l'on garde toujours la trace
D'un amour, d'un absent
Que tu refais surface
Comme hier droit devant

Je n'ai plus rien à faire,
A part te garder.

Inonder de lumière,
Toi mon invité.
Je n'ai plus qu'à te suivre,
A toi de placer pièces d'or ou de cuivre,
Ton soleil d’été.

J' ai posté ma lettre, c'était ma dernière chose à faire
Descendu dans la rue sans savoir non plus
Ou je vais depuis que tu es partie
Trouver un billet dans ma poche arrière
Qu'est ce que j'pourrais bien t'offrir
Y'a ce magasin dont tu m'as parlé où j'entends notre chanson
Ca me fait du bien, ça ma fait du bien
Toute la journée d'hier, j'étais pleins de larmes

ça Me Fait Du Bien

J' ai posté ma lettre
C'était ma dernière chose à faire
Descendu dans la rue sans savoir non plus
Ou je vais depuis que tu es partie
Trouver un billet dans ma poche arrière
Qu'est ce que ' pourrais bien t'offrir

C'est une fêlure ou un festin
La démesure un dernier train
Les commissures et le chagrin
C'est tout ce qui me vient
C'est un voyage un méridien
C'est le partage deux dans le bain
Une simple page et le mot fin
C'est tout ce qui me vient

CELUI QUE J'ÉTAIS

Ce n'était pas moi
C'était un autre
Qui me ressemblait

On fait des choix
On fait des fautes

1, 2, 3
Je veux bien compter sur toi
Plus de trois baisers volés
Pourquoi pas...

1, 2, 3
Tu peux bien compter sur moi
Là sont tes grains de beauté

Heure hindoue, rentrer tard
Tard ou tôt, c'est comme on l'entend
Et j'ai l'idée d'une idée dans les airs
Et décoller de ce bitume et ces pavés
A fond de cale dans l'air silencieux
Oublier cette putain de pluie, la nuit est finie
Peut-être enfin demain nous appartient

Un сourant d'air
la lumière enfin trouvée
je me laisse faire
à l’arrière de tes pensées

dis-moi encore
ce n'était qu'un sommeil
le temps que j'ai passé

Tu étais drôle à ton réveil
Comme un oiseau tombé du nid
Rien ne sera jamais pareil
Ensemble, nous avons dormi

Tu as gémi dans ton sommeil
Tu avais peur on aurait dit
Je veux que plus rien ne t'effraye

Je me lève jour après jour,
C'est un jour ordinaire,
J'en connais déjà le cours,
Le poids d'un parcours necessaire,
Que je dois faire

Parce qu'on a jamais le choix
De ses murs de sa terre,

je me lève jour après jour
c'est un jour ordinaire
j'en connais déjà le cours
le poids d'un parcours nécessaire
que je dois faire

parce qu'on n'a jamais le choix
de ses murs de sa terre

Je me lève jour après jour
C'est un jour ordinaire
J'en connais déjà le cours
Le poids d'un parcours necessaire
Je dois faire
Parce qu'on a jamais le choix
De ses murs ,de sa terre
Qui nous enferme a l'étroit

Habillez-moi de saison, habillez-moi d'un fil.
Venez dorer mon blason, m'essayer tous les styles.

Habillez-moi pour l'hiver, taillez-moi des costards.
Que je vois de quoi j'ai l'air au fond de vos regards.
Rien, ne m'atteint rien ne me touche.
Rien, ni vos mains ni vos retouches.
Moi je resterai le même, même dans une autre peau

Si tu n'es pas celui qui croit
Si tu n'es pas de ce combat
Ça ne fait rien
Si ça te convient

Si tu n'es pas de ce pays
Si tu n'es pas de cet avis
Ça ne fait rien

Je sais ton amour
Je sais l'eau versГ©e sur mon corps
Sentir son cou jour aprГЁs jour
J'ai remontГ© les tourments pour m'approcher encore
J'ai ton dГ©sir ancrГ© sur le mien
J'ai ton dГ©sir ancrГ© Г mes chevilles
Viens, rien ne nous retient Г rien
Tout ne tient qu'a nous

Je sais la joie qui nous traverse
Comme quand on sourit sous l'averse
Je sais la peine qui nous dépasse
Comme quand on pleure devant la glace
Je connais le courage et la foi
Et celle qui me manque un peu parfois
La douceur et le combat

Je sais la joie qui nous traverse
Comme quand on sourit sous l'averse
Je sais la peine qui nous dépasse
Comme quand on pleure devant la glace
Je connais le courage et la foi
Et celle qui me manque parfois
La douceur et le combat

Je vis deux fois

Si tu veux me dire
Ce qu'on dit tout bas
J'ai les yeux
Fermés
Et des silences
Pour s'approcher

Tu tapes toujours au creux de ma blessure
Si j'ai des bleus, sa te rassure, sa te rassure
Tu tapes toujours au milieu de la plaie
Si moi j'ai mal, toi ça te plais, toi ça te plais
Tu prend la peine le temps qu'elle devienne le mot de la fin

A quoi sa sert un adversaire?
On y gagne rien, on y gagne rien

approchez
venes découvrir
l'attraction nouvelle
celle qui va bientôt ouvrir
si vous voulez d'elle

approchez
venes visiter

La femme qu'il me faut

Il faut que ces silences avouent
Les plus beaux péchés
Il faut qu'elle crie de vérité
Il faut qu'elle ait là sur la joue
Beaucoup de douceur
Car plus rien ne me tient à coeur

Hier, je demandais encore
"Ça fait quoi d'être mort ?
Ça doit faire froid dans le dos
De sentir le fer de la faux
Comme en enfance,
Est-ce qu'on s'endort ?
Est-ce qu'on se tord
Dans des souffrances ?"

J'ai sur moi en peu de terre
un soleil si jamais j'ai froid
j'ai aussi de quoi réver
si je ne m'endors pas

j'ai sur moi des rires des regards
de l'oubli pur ce qui fait mal
j'ai aussi pris un coffret ou ranger mon courage

Comme un étranger sans appui, sans repère
À vouloir parler, j'ai fini par me taire
Jusqu'à oublier qui j'étais pour vous plaire
Au lieu d'assumer, moi j'ai fait le contraire
Est-ce que ça vaut la peine?
Est-ce que ça vaut la peine?
De passer toute une vie sous une armure
Je me fais la promesse, je me fais la promesse

Demain sera le jour
Ou rien ne sera plus pareils
J’ai attendue mon tour
Voila, je réponds à l’appel
Demain sera le jour
La revanche et la belle
Ou le dernier recours
Le temps où chacun se réveille

Soudain le jour, le jour est arrivé
Arrivé là, là pour tout changer
Soudain la terre, la terre m'a emmené
Emmené là, là où j'attendais

Soudain l'été, l'été s'est invité
Invité là, là où je voulais
Soudain l'amour, l'amour m'a retrouvé

Toi le guide, le gardien
Sur qui je m'attarde
Prends le vide dans mes mains
Rempli les d'or et de marbre
Toi le feu, toi la flamme
Sur qui je m'emmêle
Quand mes yeux te réclament
Charge-toi de l'étincelle

Je m'présente, je m'appelle Henri
J'voudrais bien réussir ma vie, être aimé
Etre beau gagner de l'argent
Puis surtout être intelligent
Mais pour tout ça il faudrait que j'bosse à plein temps

J'suis chanteur, je chante pour mes copains
J'veux faire des tubes et que ça tourne bien, tourne bien

Comme à l'origine, comme à la naissance
Comme le rien s'anime et crée l'existence
Comme la vie sublime le vide et l'absence
Ce qui prend racine, prend son apparence
Comme l'homme qui s'incline, retente ta chance
Comme le cœur s'abime, puis reprend confiance
Comme on s'illumine, après le silence
Ce qui se termine, en fait recommence

Le sourire

On a toujours le droit,
de douter, décevoir,
ceux qui sont restés
et baisser les bras qu’on levait 100 fois,
longtemps même, mais

Je ne suis pas cet homme
Le regard dans le vide
Qui semble faire la somme
De chacune de ses rides
Je ne suis pas celui
Qui boit l'eau des fontaines
Et ne mange que la nuit
Toujours en file indienne

Mieux vaut toi que jamais
Ты дорог так, как никогда
Fais-moi attendre
Fais-moi compter
Adossé à l'écorce par des cordes enchainées

Fais-moi descendre
Fais-moi tomber

Je sais ton amour,
Je sais l'eau versée sur mon corps,
Sentir son cours jours après jour,
J'ai remonté les tourments
Pour m'approcher encore ,
J'ai ton désir Ancré sur le mien ,
J'ai ton désir Ancré à mes chevilles,
Viens, Rien ,Ne nous retiens à rien,

Je suis le dernier
Je suis le premier
Je suis personne sous la couronne
Je suis dans ma peau
L'ancien le nouveau
Je suis comme toi
Je ne fais que mon possible

Je te vois, je te vois mais nous sommes deux étrangers.
Tu me vois, tu me vois et c'est comme si on parlait.
Je demande, je demande ton prénom, aux invités.
Je m'avance, je m'avance et nos mains peuvent se toucher.
Elles se touchent avant de se lâcher
Et nos bouchent ne font que regarder
On attend, on attend tout à l'heure...

Je veux y croire,
il a peut-être raison,
il me fait voir,
enfin d’autres horizons,
et je l’entends,
comme jamais auparavant,
il ne voit,
que l’important et le vrai,

Promis Обещаю
Je ne veux pas la lune
Je ne demande rien
Promis
Tous les deux sur les dunes
Je n’en ai pas besoin

Promis

Je ne veux pas la lune
Je ne demande rien
Promis
Tous les deux sur les dunes
Je n’en ai pas besoin

Promis
Si tu me donnes le choix

C'est la maison où j'ai grandi
Où l'on vivait ensemble
C'est une saison un mercredi
Des jouets dans la chambre
Sur le mur du fond on trace un trait
Tous les mois de septembre
Nos deux prénoms se mesuraient
Puis se tiraient la langue

En toi, à l'intérieur, le tout et son contraire
Le doux et la douleur, la pénombre, le solaire
Le sincère le menteur l'allier et l'adversaire
Le gentil, le voleur, la vie, le revolver
Dans ta maison dans ta demeure
Enfouie au fond dans tes affaires
Le dangereux comme le meilleur
Dis-moi la part que tu préfères

Retour à la vie
Deux rappels
Et un dernier bonsoir
Je m'en vais par le même couloir
Dans la loge on me sourit remercie

Pas d'appels
Mais un ancien message

A tout prendre autant laisser
ce qu'on peut vous raconter
je ne suis pas
un autre que moi

a tout vendre autant donner
la vérité à partager
avant de voir

Sans dire un mot (Не говоря ни слова)

Je ne sais pas où aller
Pour tomber sur tes pas
Si c'est dans la ville où je suis né
Ou tout près de chez moi
Je ne sais pas deviner
A quoi ressemble ta voix

Sois tranquille

"Je sais la peine, je sais les pleurs et les pensées
Que les mots ne peuvent apaiser
Je sais l'absence, je sais le manque et les regrets
Les souvenirs qu'il faut revivre et partager
Je sais tout ce qui est pour toi

Passé laissé d'arrière goût
Le curieux mélange de nos cœurs rendus fous
Assez tu sais
J'aime beaucoup
Tes mains sur ma peau et ta bouche à mon cou
Je me plais à te plaire à part toi tout m'indiffère
Je me plais à te plaire est-ce parfait, est-ce éphémère ?

J'ai appris tous les signes
Redessinant la ligne
Et jusqu'à l'évidence
Comme un nouveau parcours
Passant aux pieds des tours
Invitant au silence
Le temps a fait son œuvre
Les mirages, les couleuvres

À tout juste un an, premier pas posé,
On marche un instant avant de tomber.
Dans la cour d'école on a beau jouer,
On finit au sol le genou blessé.

On tombe amoureux et le cœur lancé,
Il fait de son mieux avant de casser.
C'est un jeu de quilles, on est tous conviés

Commencer là
Se sourire déjà
Choisir plus tard
De se revoir
Se revoir là
Ralentir le pas
Parler après
D'un peu plus près

Un enfant dans mes bras

Pas besoin d'un prénom
Pour te sourire,
Te parler tout bas
Pas besoin d’une Lune
Pour t’endormir
Pas besoin de savoir

J'ai gardé ton rire
Je l'entend parfois
Aller et venir
Au creux de ma voix
J'ai gardé ça de toi
De nos jeux d'hier

J'ai gardé ta peur

Premier souffle, mon corps désuni de son cordon
Premier cri, j'entends tout le bruit puis mon prénom
Premier jour, mes pleurs font la joie de mes parents
Premier soir, au son de la voix de ma maman
Viens le souffle, je marche je grandis à ma façon
Viens le cri, je préfère mes amis aux additions
Viens le jour, plus personne chez moi ne me comprend
Viens le soir, les premiers pourquoi, premiers tourments

J’ai rangé tout ce qui traine
Pousser les meubles et les regrets
Pour faire le vide
J’ai mis au bord de ma fenêtre
Prêt à tomber tout les peut être
Tous les non-dits
Mais dans les choses que j’ai garde
Je laisse l’amour à ta porte

Quelque soit le sillage
Au-delà des parages
La route peut s'effacer
Laissant à la surface
Parfois assez de place
Pour tout recommencer
Au nouvel équipage
On promet le partage

J'ai posté ma lettre
C'était ma dernière
Chose à faire
Descendu dans la rue
Sans savoir non plus
Où je vais depuis que tu es partie
Trouvé un billet
Dans ma poche arrière