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Flames eats my soul, i’m captured by the book, remind me all of this as i slip the hook
It generates me, nothings given back, this sheer reality embraces all i got ( all i got)
It floats thru me as electricity, as i keep my head above, still breathing free. Still breathing free
Breaking the seal, there is nothing to feel.
Soul taken beyond, soul is taken beneath
Don’t bother, just pretend, i’m not even there.
- A La Droite De Dieu
Salope sourit, trahit, dtruit, sale pute.
Juste un morceau de ton cul, salope,
j'en veux juste un pour pouvoir le brandir,
l'asseoir, le voir pourrir la droite de dieu et le savoir mourir...
Une partie de ta luxure.
Copule, c'est sr ta pute simule, s'assume.
Place-toi dans la cabine, la boite confessions.
Dis-lui que tu signes et dvoile ta passion.
- Ailleurs C'est Ici
Je digère un passé étiolé, ce monstre athée rêve maintenant
Le sang fatigué, je me rends vers les seins
Nos vies au creux des mains, je balbutie d'effroi
Et tout me manque à l'instant
D'instinct, le mal s'obtient par le corps
Et j'égaye mes plaies, sablées
L'hôte souffrait que ton être se refuse à son poste
Je feindrais ma mort pour que tu me prennes dans ton exode
- Amaterasu
Amaterasu
Elles restent là.
Au Temple d'elles les prétresses imperiales
Implorant et pleurantes, que je revienne
Que je redevienne celler par qui brûle le soleil.
Lassés
ILS vivront au gré des désirs de l'homme.
- Anima Exhalare
J'y est gouté le tien...
Suivi des labyrinthes...
Couvé le néant
Lacune béante,
Pas assé grande...
J'aurais dû ressentir la détresse dans ta chute, ce déniement, ton refus de la vie qui nous lia par dépit.
- Animad Version
Tu aurais du ressentir en toi, une nouvelle perception, un nouveau regard, avide de savoir, grandissant & cherchant en toi c'que jamais il ne trouvera. Tu refusas d'y croire, retenant physiquement, c'qui n'avait pas sa place en toi, c'que tu n'voulais pas voir, qui n'aurait jamais dû être là. Être là. Nous ne verrons plus jamais à deux, débarrassés d'une incision à la lame. L'extraction aura quand même lieu, des hurlements stridents emplissant ton âme, laissant tes yeux secs, pas une larme. Lui, sorti de cet antre imprégnée d'alcool, de fumée, déjà maculé de ton sang impur, sa première sensation se pesant comme une vision, une impression, la folie derrière les murs. Tu ne lui donneras jamais le sein, tout ce qui pouvait te raccrocher à lui n'était rien, laissant cette graine jetée à terre inconsciemment, se développer comme la gangrène ne pensant pas que par l'enfance, la vie d'un être est déterminée. Tu devais pourtant incarner le lien viscéral entre ce ventre céleste & son contenu maudit. Sais-tu c'que peut être une vie à subir, nourrit aux racines d'un amour létal, croire que tu vas venir? Cris, violence & non-respect de l'être ne peuvent amener qu'au mal de vivre, à une rancœur amère, toujours aussi présente. Le pardon ne pouvant s'envisager, seule une vengeance violente, une décharge de tout ce qu'il y a de mauvais, malsain, au plus profond du subconscient, pourrait permettre de ne plus penser aux noirs souvenirs qui gangrènent ma chair me rendant chaque jours un peu plus malade. Mes pieds s'enlisent, mon esprit les suit. Je me perds. Plonge tes mains dans mes larmes blanches, nage au sein d'une volute d'abominations, de laideur, de carnage. Goûte dans ma bouche, l'arôme amer de l'ennui. Toutes ces tortures qui hantent mes nuits. Entends de mon ouïe, ces notes mélancoliques, mes grincements de dents, cette musique symbolique. Regarde dans mes yeux, une vision troublée du vrai visage de l'homme angoissant, torturé, touche, de mes mains, tes joues humides. Une douce peau parfumée qui finira putride. Ressent ce liquide qui frappe tes tempes, rougit mes yeux, mais pourtant, alimente le cœur du nourrisson comme celui du vieux t'épousant dans la chair, les bosses, les creux. Tu peux le percevoir, le sentir ruisseler, c'n'est plus la peine de croire. Non, je ne peux pas oublier! Non, je ne veux plus oublier! Un déséquilibre profond flotte en moi, écarquillé, vitreux. Je dois être déchiré, je ne sais plus vraiment c'que j'fais. Ta gueule est tuméfiée. Que dire, pas grand chose, tout ça devait arriver. L'important, au fond, c'est de crever l'abcès, hurler, extérioriser, en morceaux t'enterrer. Le sang épais & chaud galvanise mes mains. Mon cœur, par terre, emprunte le chemin qui mène à l'horreur d'une excitation morbide, les yeux brillants, le regard matricide. Ce soir, tu m'as mentit encore une fois... Tu avais dit que tu rentrerais tôt. Mais la terre dans ta gorge me laisse croire que, maintenant, tu ne rentreras plus. Je construits des abysses, c'est si beau, quand c'est au fond de la peau. Que je l'aime ton doux regard qui plisse... C'est si beau quand je défonce ton cerveau.
- Animadversion
Tu aurais du ressentir en toi, une nouvelle perception, un nouveau regard, avide de savoir, grandissant & cherchant en toi c'que jamais il ne trouvera. Tu refusas d'y croire, retenant physiquement, c'qui n'avait pas sa place en toi, c'que tu n'voulais pas voir, qui n'aurait jamais dû être là. Être là. Nous ne verrons plus jamais à deux, débarrassés d'une incision à la lame. L'extraction aura quand même lieu, des hurlements stridents emplissant ton âme, laissant tes yeux secs, pas une larme. Lui, sorti de cet antre imprégnée d'alcool, de fumée, déjà maculé de ton sang impur, sa première sensation se pesant comme une vision, une impression, la folie derrière les murs. Tu ne lui donneras jamais le sein, tout ce qui pouvait te raccrocher à lui n'était rien, laissant cette graine jetée à terre inconsciemment, se développer comme la gangrène ne pensant pas que par l'enfance, la vie d'un être est déterminée. Tu devais pourtant incarner le lien viscéral entre ce ventre céleste & son contenu maudit. Sais-tu c'que peut être une vie à subir, nourrit aux racines d'un amour létal, croire que tu vas venir? Cris, violence & non-respect de l'être ne peuvent amener qu'au mal de vivre, à une rancur amère, toujours aussi présente. Le pardon ne pouvant s'envisager, seule une vengeance violente, une décharge de tout ce qu'il y a de mauvais, malsain, au plus profond du subconscient, pourrait permettre de ne plus penser aux noirs souvenirs qui gangrènent ma chair me rendant chaque jours un peu plus malade. Mes pieds s'enlisent, mon esprit les suit. Je me perds. Plonge tes mains dans mes larmes blanches, nage au sein d'une volute d'abominations, de laideur, de carnage. Goûte dans ma bouche, l'arôme amer de l'ennui. Toutes ces tortures qui hantent mes nuits. Entends de mon ouïe, ces notes mélancoliques, mes grincements de dents, cette musique symbolique. Regarde dans mes yeux, une vision troublée du vrai visage de l'homme angoissant, torturé, touche, de mes mains, tes joues humides. Une douce peau parfumée qui finira putride. Ressent ce liquide qui frappe tes tempes, rougit mes yeux, mais pourtant, alimente le cur du nourrisson comme celui du vieux t'épousant dans la chair, les bosses, les creux. Tu peux le percevoir, le sentir ruisseler, c'n'est plus la peine de croire. Non, je ne peux pas oublier! Non, je ne veux plus oublier! Un déséquilibre profond flotte en moi, écarquillé, vitreux. Je dois être déchiré, je ne sais plus vraiment c'que j'fais. Ta gueule est tuméfiée. Que dire, pas grand chose, tout ça devait arriver. L'important, au fond, c'est de crever l'abcès, hurler, extérioriser, en morceaux t'enterrer. Le sang épais & chaud galvanise mes mains. Mon cur, par terre, emprunte le chemin qui mène à l'horreur d'une excitation morbide, les yeux brillants, le regard matricide. Ce soir, tu m'as mentit encore une fois... Tu avais dit que tu rentrerais tôt. Mais la terre dans ta gorge me laisse croire que, maintenant, tu ne rentreras plus. Je construits des abysses, c'est si beau, quand c'est au fond de la peau. Que je l'aime ton doux regard qui plisse... C'est si beau quand je défonce ton cerveau.
- Blumiarexia
Abdominal fever, asexual punishment
I soften the beauty with my tubes and mazes
Desaster of the body, obsession of eating a lot
Play, command the neurotic drain
Internal incubus, foreseen referee, empties for me
Welcome to my orgy
Overeating noutrition
Bulimiarexia bulimia nervosa
- Des Hommes Bons
ВАААААААЙ тсс
АААААЙ тсс
ААААААЙ
ВАААААААЙ
Семафоры destiny ножи не Коля
Один укус Наташи стянул портфель
Но ты вдруг налаялась
Не забудьте в ногти лезть
- Detruis-Moi
Tu n'es pas mieux que moi !
Si c'est ton jeu, détruis-moi !
Mange les restes dans la poubelle.
Mais vomis pour que tu sois plus belle.
Belle est laide quand elle est sur scène.
Elle se moque de tout même.
Quand ils la saignent.
Lève-toi !
- Elle S'endort
Tu as nourrit ta plainte machinale
Mécanique, tu souffres quand tu avales
Tu t'ennuis, tu t'enivres, langueur
Mange un ange au coeur qui t'écoeure
Ils passent aveugles, abîment ton corps mou
Ils tournent sur eux même, ils deviennent fous
Façonnes et pardonnes l'animal
Pour juste désapprendre ce mal
- Encore
Encore encore un autre génocide
Encore un blacko shooté dans le bide
Encore un mec qui n’a pas suivi le guide
Encore et encore
Encore encore un autre génocide
Encore un blacko shooté dans le bide
Encore un mec qui n’a pas suivi le guide
- Entends-tu Les Pas
Entends-tu les pas de celui qui vient te prendre
A terre te jeter en toi s'épandre
Ses paroles douces et chaudes à l'instar de ces mains
Glissent sur tes hanches subliment tes reins
Son regard perce le soir les miroirs de ton âme
Tes plus honteuses pensées tes désirs ta flamme
Sa langue choquante ne peut point décevoir
Rafraîchissant ta peau la pointe de tes seins
- Holocauste En Trois Temps
Balayant les membres amants, ces corps maigres affamés.
Préféraient la douleur à la mort.
Courtisane de l'enfer aux sabots de la bête.
Ma bouche sèche au travail du feu et de leur dieu.
Écorce de chair au cuir percé.
Ces fosses humaines célèbrent les nouveaux ponts des cités mortes.
Suis les pas de la bête.
Aux invariables messes.
- Hydracombustio
Carole, je me souviens de toi, poupée brûlée, poupée gâchée.
Ta robe colle à ta peau qui coule sur tes os nécrosés.
Les pâtes de chair s'épluchent.
Les mues boutonnent nos muscles.
En attendant les mouches.
J'ai bien ouvert ma bouche.
Avalé tout le souffre.
Poupée giflée, poupée sanglée, œdème greffé, tissus cendrés.
- Ileus Matricis
Mes chairs internes digèrent ces peuplades ichtyophages.
Ma peau arrachée, mes os aiguisés, ma tête fuselée.
Réduites d'arêtes parfaites.
Je hais ces poissons qui me mènent vers le fond.
De bile en phlegmon, je tiens ma folie bâillonnée sous ma vie.
Sous mon lit traîne les furies. Je sais que j'empire, je sais qui je suis.
Putain de chienne, enceinte de la haine.
Renifle ce goût infect qui traîne, miel organique.
- Ileus Terebelle
Crève leurs yeux d'un seul coup de dent.
Leurs ventres au fond des cuisses humaines.
J'ai tellement faim que j'ai bouffé leur queue.
Sucé leurs cœur, ne pas nourrir le baigneur.
Ouvre la boîte à cervelle, celle qui s'écrase sous ta semelle.
Traque mon animal, l'insecte qui m'appelle.
Vers mon intestin frêle.
Sans matière qui s'emmêle, qui macère.
- Je Vous Hais
Sale, je vous hais.
Dieu que tu m'as bien habillé et c'est bien appris.
Chaque nuit, je fais un peu plus sur ton lit.
Mais voilà, ma culotte saigne encore.
Viens décrasser ce corps!
Tout n'est pas sec.
Cette odeur, c'est quand je reste allongée...
Tu ne trouves pas?
- L'instant Sourd
Soupe de sang, je bois et déguste mes dents.
Ce soir, mon corps stupide est ivre.
Mes jeux violents ne conviennent plus.
La reine insouciante est pervertie par l'immondice.
Et la caricature, embrasse les ténèbres.
Et crie à la lumière.
Je ne peux plus marcher avec toi alors.
Glisse toi dans ma bouche et je te changerais en pouce.
- La Chair Et Le Sang
Berce-la! Dans son ventre, petite fille, petite pute. Il est entré, visage obscur, mâle impur. Plus près de toi, laisse pénétrer ses doigts. Elle est sale. Elle a mal. Fenêtres et portes sont fermées, il est entré. Aime-le! Famille sacrée, fermée. Comme une messe, rituel régulier, chaque soir la porte s'ouvre. Maman! elle avait pourtant fait son lit. Maman! Ses draps, son lit sont souillés. Maman... ! Donne-toi à lui ses remords sont des frasques, il te déflore. Donne-toi, mais cri pas trop fort! Ses sales doigts ont taché ton corps. Encore, il te touche, tellement, ta peau est douce.
- Le Fruit Des Anges
Moi le fruit des autres.
J'implore mon effort.
Mon effort, j'implore.
Envie d'être une autre.
Fille du vent prend l'air du temps.
Remonte et descend le courant.
Suspend l'instant, suicide latent.
Bonsoir, les anges insolents.
- Lemniscate
C'est là que tout recommence.
Etranges murs susurrent à nos oreilles.
Elle est là attend l'éveil.
Mais tout a commencé et tout recommence.
On a caché quelques morceaux de tête.
Dans sa boîte, bien intacts et mangeables.
Je déteste rendre sur elle; je fixe sa bouche.
Bientôt, je sors ma langue.
- NaOCl
Verse le sirop de javel comme une prise habituelle.
Aseptique soldat s'en mêle, corrode en caresse.
Et sans trop d'eau, j'en raffole.
Je ne suis pas folle.
Et si cette peau que je pelle n'était pas réelle ?
Alors, j'ai mangé les vers qui rampaient dans les selles.
Régurgité mes cheveux déracinés par les nœuds.
Javeline est fille éternelle.
- Nefas
Ardentes femmes phalliques agglutinées,
Nefas attise les corps sans peine, les têtes, pénètre.
Asphyxiées à en pâlir,
Nature obscure,
Luxure perdure,
L'écume des sourds effuse, onguent collant,
Offrande aux catins séminales.
Luxure suture,
- Nihil Sine Causa
Bones are too thin...
You're the cross.
Face failed, this silent day, an angel says:
Your pain is sharped by your own muddled mind,
try to trap the Devil inside.
ten thousand dead black kidneys leave my hands,
It's raining flesh.
- Ondine
Ondine aime boire à sa rivière génitale.
Ondine erre sous les frontières coprophages.
Coronelle antifusionnelle, tourniquet détourné.
Nourris-toi du copros, génie des eaux perverses.
Madame dresse ses mâles androzoones.
Elle est bestiale, elle selle son idéal.
Inflammation psychiatrique.
- Pourquoi
Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais! Je n'arrive plus à me souvenir. Mes yeux aveugle, ma bouche vomit. Tu bouffes ma haine, mon corps qui pourrit. Je n'trouve plus ma place dans son plaisir. Il m'a pompée les restes d'innocence. La mauvaise herbe semée dans son ventre... J'n'ai ni remords ni regret. J'n'éprouve plus rien pour personne. Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais! Le regard vide et le cœur blanc. Je me voue, tu vois, mais fait semblant. J'ai appris à rester sèche et seule. La main absente a volé l'émotion. Je n'arrive plus à avoir de dévotion, ni la putain de célèbre affection. Et quand j'obtiens tout c'que je veux, j'n'en veux plus, me lasse, et le détruis. Pourquoi? Regarde c'que tu m'as fais! Tu vois, c'est plus fort que moi, mais toi, tu n'y échapperas pas. La vie, comme tu la vois, est, chaque jour, différente pour moi. Tu aimes autrui et tu partages... Je crois que moi je n'connais pas. Viens et approche-toi de moi! Sens l'enfer grandir en moi. La salope prend tout, elle aime, elle utilise. Chienne, pourquoi...? Tout ce qu'elle commence, elle ne le finira jamais.
- Priape
Tu l'as senti.
Son souffle fin file et fuit entre tes mains.
Fade pourpin glissant sous vos draps de demain.
Les singes vont et viennent dans ta tête.
Et se ploient sous vos lits de cachette.
Les tueurs aspermes léchant leurs verges.
En sors l'enfant des moteurs liberticides.
La vois-tu malade dans tes exercices de génisse ?
- Sidus
Lithium lunaire tombe,
L'astre thérianthrope nous est
fatalement moins clément.
Rivière absolue, mer ou fille de
Judée pleure l'enfant impudent
Adieu père, ta lignée mérite son châtiment.
Hélium espace comble
Toute gravité rompue
- V.I.T.R.I.O.L
Tes cris se hachent, ta vie se gâche à sucer l'ennemi.
J'ai peur de tomber pour ne plus jamais me relever.
J'ai peur de toujours te haïr et ma vie passe, je n'ai pas guérie.
Tu vois, je me lasse.
Fatiguée de t'entendre me dire comment vivre.
Fatiguées de porter ces sacs vides.
Fatiguée d'écouter parler ces gens qui s'ennuient.
Fatiguée d'écouter ces gens qui envient.