- J'ai cinquante ans ce soir
(Bernard Dimey - Colin Verdier)
J'ai traversé ma vie comme on traverse un rêve
Ne sachant pas toujours où se portaient mes pas,
Je suis comme un nageur que la vague soulève
Poussé vers un pays que je ne connais pas.
J'ai 50 ans ce soir et si je crâne un peu
- J'en Deduis Que Je T'aime
Par la peur de te perdre et de ne plus te voir
Par ce monde insensé qui grouille dans ma tête
Par ces nuits sans sommeil où la folie me guette
Quand le doute m'effleure et tend mon cœur de noir
J'en déduis que je t'aime
J'en déduis que je t'aime
Par le temps que je prends pour ne penser qu'à toi
- Je me fous d'avoir vieilli
(Sophie Makhno - Sophie Makhno / Colin Verdier)
Ca fait tort à ma jeunesse
A mes années de paresse
Ca fait tort à mon esprit
A tous les soirs de décembre
Où je rêvais dans ma chambre
Oui j'ai tort d'avoir grandi.
- Le Poinconneur Des Lilas
Le poinçonneur des Lilas
Je suis le poinçonneur des Lilas
Le gars qu'on croise et qu'on ne regarde pas
Y a pas de soleil sous la terre, drôle de croisière
Pour tuer l'ennui, j'ai dans ma veste
Les extraits du Reader's Digest
- Les Amants
Paroles: Edith Piaf, musique: Charles Dumont
Quand les amants entendront cette chanson
C'est sûr, ma belle, c'est sûr qu'ils pleureront
Ils écouteront
Les mots d'amour
Que tu disais
- Lili Marlene
Devant la caserne
Lorsque vient la nuit,
La vieille lanterne
Soudain s'allume et luit.
C'est dans ce coin-là que le soir
On s'attendait, remplis d'espoir,
Nous deux, Lily Marlène. (bis)
Et dans la nuit sombre,
- Ma romance
(Francis Lemarque)
Moi, j'aimais bien la romance
Et la danse autrefois
J'avais l' cœur plein d'espérance
De confiance et de joie
Aujourd'hui quand j'y repense
- Nous Les Amoureux
Nous, les amoureux – on voudrait nous séparer
On voudrait nous empêcher d'être heureux
Nous, les amoureux – il paraît que c'est l'enfer
Qui nous guette ou bien le fer et le feu
C'est vrai, les imbéciles et les méchants
Nous font du mal, nous jouent des tours
Pourtant rien n'est plus évident que l'amour
- On n' aura pas toujours le temps
(Bernard Dimey - Jean-Luc Drion)
On aura pas toujours le temps, il faut jouer gagnant dans la vie
C'est en quelques heures qu'on choisit les couleurs de sa vie
Je déchiffre mon chemin dans les lignes de tes mains
Les yeux grands ouverts si parfois je m'y perds, c'est bien
Les paysages de l'amour se traversent de jour et de nuit
- Revoir Paris
Revoir Paris
Un petit séjour d'un mois
Revoir Paris
Et me retrouver chez moi
Seul sous la pluie
Parmi la foule des grands boulevards
Quelle joie inouïe
D'aller ainsi au hasard