Au Bout de mes RevesEt même si le temps presse
Même s'il est on peu court
Si les années qu'on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l'on m'arrête
Ou s'il faut briser des murs
En soufflant dans les trompettes
Ou à force de murmures
Bienvenue sur mon boulevardJ'ai rencontré des mecs qui changeaient de costard
D'après le cours du kopeck ou celui du dollar
Des monstres dégoûtants, des crapauds pleins de bave
Ecroulés de rire en contemplant d'autres épaves
J'ai vu des femmes et des enfants, les yeux fardés, tout noirs
Perdus et pourtant si sûrs d'eux, bizarre, bizarre
Chanson D'AmourChanson d'amour, hystérie du moment, écrans, romans, tout l'temps
Des p'tits, des lourds, des vrais, d'autres du flanc
C'est trop, finissons-en
Ça dégouline de tous les magazines
Ça colle aux doigts, ça colle au cœur, c'est dégoûtant
En vérité,
Qui pourrait m'en citer
Un seul qui lui ait donné
Comme a ToiElle avait les yeux et la robe en velours
А c'été de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour.
La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Elle aimait la musique surtout Schumann et puis Mozart.
Comme a toi, commea toi, comme a toi
Comme toiComme toi
Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
À côté de sa mère et la famille autour
Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour
La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir
Le bonheur en personne et la douceur d'un soir
Compte pas sur moiOublier d'où je viens, ma mémoire et les miens
Non, non, non, non, non
Endosser pour faire bien les nouveaux lieux communs
Non, non, non, non, non
Penser qu'on a moins tort quand on hurle plus fort
Non, non, non, non, non
Oh, t'en trouveras des tas pour chanter ces choses-là
ConfidentielJe voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront près de moi sur mon chemin
Te dire que c´était pour de vrai
Tout ce qu´on s´est dit, tout ce qu´on a fait
Que c´était pas pour de faux, que c´était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c´est gagné
DouxC'est pas moi qui vous ferai des plans
De loup-garou, de grand méchant
S'il faut se battre pour que ça vous plaise
Malaise
Je vous aimerai pas dans la sueur
Genre stakhanoviste du bonheur
La voix mielleuse : 'Alors, heureuse ?'
Elle A Fait Un Bebe Toute SeuleElle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
C'était dans ces années un peu folles
Où les papas n'étaient plus à la mode
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle AttendElle attend que le monde change
Elle attend que changent les temps
Elle attend que ce monde étrange
Se perde et que tournent les vents
Inexorablement, elle attend
Elle attend que l'horizon bouge
Elle attend que changent les gens
En passantToutes les ébènes ont rendez-vous
Lambeaux de nuit quand nos ombres s'éteignent
Des routes m'emmènent, je ne sais où
J'avais les yeus perçants avant, je voyais tout
Doucement reviennent à pas de loup
Reines endormies, nos déroutes anciennes
Coulent les fontaines jusqu'où s'échouent
Encore un MatinEncore un matin
Un matin pour rien
Une argile au creux de mes mains
Encore un matin
Sans raison ni fin
Si rien ne trace son chemin
Matin pour donner ou bien matin pour prendre
EnsembleSouviens-toi
Etait-ce mai, novembre
Ici ou là ?
Etait-ce un lundi ?
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi
Souviens-toi
Et l'on n'y peut rienComme un fil entre l'autre et l'un
Invisible, il pose ses liens
Dans les méandres des inconscients
Il se promène impunément
Et tout un peu tremble
Et le reste s'éteint
Juste dans nos ventres
Fermer les yeuxEt puis cette ombre au fond de l'ombre
Et puis ces deux mains qui se nouent
Ces gestes faits et refaits sans en voir le bout
Et puis cette ombre encore debout
Le cri d'une sirène
Quand le jour a déteint
Parenthèse de peine
Il suffira d'un signeIl suffira d'un signe, un matin
Un matin tout tranquille et serein
Quelque chose d'infime, c'est certain
C'est écrit dans nos livres, en latin
Déchirées nos guenilles de vauriens
Les fers à nos chevilles loin bien loin
Tu ris mais sois tranquille un matin
Il y aIl y a
Du thym, de la bruyère
Et des bois de pin
Rien de bien malin
Il y a
Des ruisseaux, des clairières
Pas de quoi en faire
Un plat de ce coin
Je Marche SeulComme un bateau dérive
Sans but et sans mobile
Je marche dans la ville
Tout seul et anonyme
La ville et ses pièges
Ce sont mes privilèges
Je suis riche de ça
Je serai douxНежный
Я не строю относительно Вас планы
Волка-оборотня, ужасного злодея,
Если нужно драться, чтоб Вам понравиться —
Это мне в тягость.
Я не буду любить Вас в поту
Je Te DonneI can give you a voice, bred with rhythm and soul
From heart of a welsh boy who's lost his home
Put it in harmony let the words ring
Carry your thoughts and songs we sing
Je te donne mes notes, je te donne mes mots
Quand ta voix les emporte à ton propre tempo
Une épaule fragile et solide a la fois
Je Voudrais Vous RevoirCette lettre peut vous surprendre
Mais sait-on ? Peut-être pas
Quelques braises échappées des cendres
D'un amour si loin déjà
Vous en souvenez-vous ?
Nous étions fous de nous
La BasLà bas
Tout est neuf et tout est sauvage
Libre continent sans grillage
Ici nos reves sont étroits
C'est pour ca que j'irai là bas
Là bas
Faut du coeur et faut du courage
La vie par procurationElle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux les pigeons
Elle vit sa vie par procuration
Devant son poste de télévision
Lever sans réveil, avec le soleil
Sans bruit, sans angoisse, la journée se passe
Repasser, poussière, y a toujours à faire
La-basLa-bas
Tout est neuf et tout est sauvage
Libre continent sans grillage
Ici, nos reves sont etroits
C'est pour ca que j'irai la-bas
La-bas
Faut du coeur et faut du courage
Les ChosesLes choses
Вещи
Si j'avais si j'avais ça
Je serais ceci je serais cela
Sans chose je n'existe pas
Les regards glissent sur moi
Les P'tits ChapeauxElle met plein de p'tits
Chapeaux bizarres
Elle sourit quand elle
Marche dans la rue ...
Aux indiens, aux livreurs, aux motards
C'est pas la plus jolie,
Les Restos du CoeurMoi, je file un rancard
A ceux qui n'ont plus rien
Sans idéologie, discours ou baratin
On vous promettra pas
Les toujours du grand soir
Mais juste pour l'hiver
A manger et à boire
A tous les recalés de l'âge et du chômage
Long Is The RoadAu-delà de nos vents, passée notre frontière
Dans ces pays soleil de sable et de pierre
Là où malgré les croix et malgré les prières
Les dieux ont oublié ces maudites terres
Dans sa pauvre valise, ses maigres affaires
Une histoire banale d'homme et de misère
Il tient dans sa chemise ses ultimes richesses
NatachaВсем моим горестям вечный свидетель –
С прорехами пальто.
Эти лохмотья и старая шляпа
Не греют меня давно.
Что-то я в жизни познал,
В корифеи попал,
Но мудрей не стал.
Ты знала, Наташа,
Nos MainsNos Mains
Télécharge la Sonnerie de "Nos Mains"
Interprete : JEAN-JACQUES GOLDMAN
Langue : Francais
Genre : Varieté
Nous Ne Nous Parlerons PasNous ne nous parlerons pas
J'ai bien reçu tous vos messages
Je vous ai lu page après page
Je sais vos hivers et vos matins
Et tous ces mots qui vous vont si bien
En quelques phrases, en quelques lettres
Parler d'ma VieЯ хотел рассказать тебе о моей жизни, мне редко это удается
Хватит и минуты, не так уж о многом можно сказать
Прошедшие тридцать лет и я знаю, или хотя бы воображаю
Моего имени никогда не будет в журналах
Видишь ли, я из тех, кого толпа успокаивает
Можно хорошо себя чувствовать только среди множества других
"Has been" до "avoir été", это немного тяжело*
Pas toiGraver l'écorce
Jusqu'à saigner
Clouer les portes
S'emprisonner
Vivre des songes
A trop veiller
Prier des ombres
Peur De Rien BluesY'a les choses qu'on peut faire
Et puis celles qu'on doit pas
Y'a tout c'qu'on doit taire
Tout c'qui ne se dit pas
Des vies qui nous attirent
De brûlures et de clous
Oui, mais ne pas les vivre
C'est encore pire que tout
Puisque tu parsPuisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses
Puisque tu pars.Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Et puisque tu penses
Quand tu dansesJ'ai fait la liste de ce qu'on ne sera plus
Quand tu danses, quand tu danses
Mais que deviennent les amoureux perdus
Quand tu danses, y songes-tu?
Quand tu danses, y songes-tu?
Amis non, ni amants, étrangers non plus
Quand tu danses, quand tu danses
Quelque Chose de BizarreC'était mois de novembre, le samedi 17 au soir
Dans ce coin de légende où les trains ne mênent nulle part
La chaleur était pesante et le vent chaud incitait à boire
Je suis descendu fourbu tout seul à la petite gare
Il y avait quelque chose dans l'air, quelque chose de bizarre
Le silence pesant des enfants qui jouaient sur les trottoirs
Les vieux assis sur leurs bancs avec leurs drôles de regards
Qui brillaient étrangement, sans rien fixer ni sans rien voir
Reprendre C'est VolerJe garderai les disques, et toi l'électrophone
Les préfaces des livres, je te laisse les fins
Je prends les annuaires, et toi le téléphone
On a tout partagé, on partage à la fin
Je prends le poisson rouge, tu gardes le bocal
A toi la grande table, à moi les quatre chaises
Sache Que JeSache que je
Знай, что я...
Il y a des ombres dans « je t'aime »
Pas que de l'amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y a du contrat dans ces mots là
Tournent Les ViolonsTournent les violons
Кружатся скрипки
Grande fête au château
Il y a bien longtemps
Les belles et les beaux,
Nobliaux, noble sang
Tout etait ditElle écrit seule à sa table et son café refroidit
Quatre mètres infranchissables, un bar un après-midi
J'avais rendez-vous je crois, j'avais pas le temps
Avec un pape ou peut-être un président
Mais la fille est jolie et les papes sont souvent patients
Elle était là dans son monde, son monde au beau milieu du monde
Une poussiereDans ce désert
Torride enfer
Une poussière
Dans vos silences
Le vide immense
Quelqu'un s'avance
Veiller TardLes lueurs immobiles d'un jour qui s'achève
La plainte douloureuse d'un chien qui aboie
Le silence inquiétant qui précède les rêves
Quand le monde disparu l'on est face à soi
Les frissons où l'amour et l'automne s'emmêlent
Le noir où s'engloutissent notre foi nos lois
Cette inquiétude sourde qui coule en nos veines
Qui nous saisit même après les plus grandes joies