Des Larmes Et De L'amourDes larmes et de lamour
Nos vies se croisent
coeurs en phase
sans faire de phrase
les mêmes chagrins
même chemins
creusés dans nos mains
Elle GlissePlus légère que l'air
Emporté dans la lumière
Eros
L'a jetée dans le cosmos
D'un côté le ciel
De l'autre une étincelle
L'espoir
De vivre une autre histoire
Faire l'Amour ImmenseСлезы и немного любви
Наши жизни пересекаются
Сердца в унисон
Не нужно слов
Одинаковые горести
Одни и те же пути
Высеченные на наших ладонях
Fais Tomber La PluieFais Tomber La Pluie
Ici
La douceur n'est jamais venue
La chaleur
Se repand jusqu'au fond des rues
Comme une tache de cendres
Y a plus rien a attendre
J'aurais voulu te direJ'aurais voulu te dire les signaux dans la nuit
les ombres ou je me cache pour écouter la pluie
J'aurais voulu te dire
Mes rêves à venir
Mais t'as voulu partir
Alors je les déchire
J'aurais voulu te dire les parfums qui me touchent
La Feuille BlancheJe t'envoie cette feuille blanche,
Pour que tu comprennes que mes nuits sont blanches et que mes jours ce trainent.
Je t'envoie cette feuille blanche,
Sans écrire ma peine,
Comme la pureté d'un ange impossible de haine.
Refrain :
Si tu déchires cette feuille,
Le Mal De ToiБолен тобой
Нет больше солнца,
Когда я просыпаюсь,
Утро, печаль,
Когда я болен тобой.
Разбиты ночь
и день,
Les Valse De VienneDu pont des supplices, tombent les actrices
Et dans leurs yeux chromés, le destin s'est brouillé
Au café de Flore, la faune et la flore
On allume le monde dans une fumée blonde
Maintenant que deviennent, que deviennent les valses de Vienne?
Dis-moi qu'est-ce que t'as fait pendant ces années?
Si les mots sont les mêmes, dis-moi si tu m'aimes...
Les Valses De VienneДю по(н) дэ сюплис
Томб(э) ле зактрис
Э да(н) лёр зьё кромэ
Лё дэстэ(н) сэ бруе
О кафэ дэ Флёр
Ля фон э ля флёр
Он алюм(э) лё мо(н)д
Les valses de ViennesDu pont des supplices
Tombent les actrices
Et dans leurs yeux chromés
Le destin s'est brouillé
Au café de Flore
La faune et la flore
On allume le monde
Magic BoulevardElle voit des films
Cent fois les mêmes
Les mêmes crimes
Et les mêmes scènes
Elle travaille seule
Elle place les gens
Dernier fauteuil
Mon Ange - Мой ангелSi c'est une main divine
Qui a dessiné tes yeux
Tes contours , tes hanches fines
Je peux croire en Dieu.
Si c'est le regerd d'un ange
Ou le vent bleu de tes ailes
Qui a fait ce doux mélange
Petit Franck 90-е годы
(François Feldman/Jean-Marie Moreau)
T'écris ton nom sur les murs, tu voudrais bien jouer les durs
Mais y a quelqu'un qui te manque dans ta vie petit Frank
Tes sentiments les plus forts sont enfouis comme des trésors
Dans les rêves où tu t'endors
Les couloirs de la pension, sont devenus ta maison
Pour que tu me pardonnesComme un monde sans etoiles, au ciel
Sous mes yeux se pose un voile, cruel
Et je marche dans la nuit, comme ca
Quand je suis sans toi
Comme la musique d'un piano, qui meurt
Dans ma tete il y a des mots, qui pleurs
Quand tu me laisses un silence, trop lourd
Pour Que Tu PardonnesComme un monde sans étoiles, au ciel
Sous mes yeux se pose un voile, cruel
Et je marche dans la nuit, comme ça
Quand je suis sans toi
Comme la musique d'un piano, qui meurt
Dans ma tête il y a des mots, qui pleurent
Quand tu me laisses un silence, trop lourd
Se Quitter Sans LarmesДень за днем
День за днем
Ты понимаешь, что время
Дует тебе в лицо
И крадет твою улыбку.
Прекрасное время года,
Что медленно уходит,
SLAVSur les pavés, dans la poussière,
Les yeux brûlés par la lumière,
Vous me parlez de votre guerre, fière.
Sous votre robe glisse une lame
Mais je vous aime comme une femme.
C'est la révolte qui enflamme l'âme.
SlaveПеревод песни:
Франсуа Фельдман
СЛАВЯНИН
На мостовых в пыли
С глазами опаленными солнцем
Вы горделиво рассказываете мне о вашей войне
Viens Me ChercherПРИДИ ГОСПОЖА ШЕРШЭ
Слова: Жан-Мари Моро, музыка: Франсуа Фельдман
Paroles: Jean-Marie Moreau, musique: François Feldman
Je t'écris d'un bateau
Que torturent les vents,
Abîmé dans les flots.
Je t'appelle souvent.
Vivre, vivreLes feuilles se désespèrent
Aux arbres de l'hiver
Et les oiseaux s'élancent,
Là-haut, dans le silence.
Tu vois : on tue le temps
Qui meurt à chaque instant,
Emporté par le vent, doucement.