CarolineJ'étais cool, assis sur un banc.
C'était au printemps.
Il cueille une marguerite : ce sont deux amants.
Overdose de douceur.
Ils jouent comme des enfants.
Je t'aime un peu beaucoup à la folie passionnément.
Mais à la suite d'une douloureuse déception sentimentale,
Le Chant Des SirenesEnfants des parcs, gamins des plages
Le vent menace les châteaux de sable façonnés de mes doigts
Le temps n'épargne personne hélas
Les années passent, l'écho s'évade sur la Dune du Pilat
Au gré des saisons, des photomatons,
Je m'abandonne à ces lueurs d'autrefois
Au gré des saisons, des décisions, je m'abandonne
Le coeurLe Cœur éléphant
Au-delà des orages
Je pars en voyage
Mon âme au vent
Le cœur éléphant
Je suis parti d'ici
Pour rencontrer la vie
Mon HeroineSeul dans la foule je me faufile
Ne m'attend plus je me défile
Dans tout ce flou je te devine
Je ne t'attendais plus, ok je m'incline
Non, je m'incline, oh non
Je marche sur tes traces j'aimerais y songer
Je cours, tu me rattrape j'aime en jouer
mon petit paysUn an de plus que je me caille
Je meurs de froid
Un an de plus et je me taille
Ouaip, je rêve de t'voir
Les nuits cent fois sans toi,
Moi j'espérais tout bas
Les nuits sans toi, sans foi,
Revenir sur mes pas
Sweet DarlingJ'ai vu la fin souvent
J'ai vu les portes se fermer
Tant j'ai de mal à te cerner
Ta mélancolie en ces dimanches passés, affalée
J'ai vu des tonnes de paires de jambes à l'envers
Crois-moi j'te jure c'est les tiennes que j'préfère
Ho oh oh
Ton visageQuand en ville, le grain se lève,
Vent de nerf agité,
Que s’éternisent les rêves,
Dans ma réalité.
J’veux des balades sur la grève,
Oh, un peu d’humanité.
Moins de béton plus de trêve,
Une vie de qualité,
Un Petit Peu De ToiUn nouveau départ le temps n'y changera rien
Le mur d'un décor que je connais si bien
Au fond de ma mémoire doucement tout me revient
Mon île mon trésor je te retrouve enfin
Je te retrouve enfin
Un petit peu de toi me pousse me ramène
Au plus profond de moi je sens ton réveil